Tendresse de rose

Baume au cœur

15.00

Un baume au coeur pour soulager les cœurs en peine, calmer le système nerveux, revenir au mode parasympathique (le mode “détente” de notre système nerveux), favoriser la confiance, l’amour et l’ouverture du coeur. Un baume pour s’accorder de la bienveillance et s’accueillir sur un chemin de guérison.

Cette formulation m’a pris plusieurs années avant de mettre au point cette synergie à base de Jasmin, de Rose, d’Oliban, de Lavande et d’Aubépine, toutes ces plantes ayant de merveilleuses propriétés pour adoucir nos peines, favoriser la détente et permettre une meilleure relation envers soi, envers le monde, en cesser de lutter contre ce que nous sommes.

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Présentation générale

Ces tendresses végétales sont issues de ma gamme reflétant mon approche sensible et poétique de l’herboristerie, où je souhaite inviter chacun et chacune à redevenir sensible et à pouvoir accueillir sa propre vulnérabilité, ce joyau au creux de notre être qui nous permet de nous relier à chaque chose et chaque être avec empathie, amour et compassion, et accueillir ainsi la tendresse amoureuse que l’on s’offre lorsque l’on choisi de tourner son regard vers l’intérieur et d’amorcer un processus de guérison au bénéfice de tous les êtres.

Chaque produit est envoyé avec une petit emballage soigné, j’ai apporté une attention particulière de poésie végétale que je vous laisse découvrir au moment de déballer votre colis…

Les épines de la Tendresse

La rose est un symbole d’alchimie intérieure, dont les épines nous invitent à nous laisser toucher, nous laisse transpercer afin d’accueillir notre vulnérabilité, apprendre à redevenir sensible et goûter à ce qui nous rend profondément humain et aimant.

C’est ainsi que je perçois la capacité de la rose à nous relier à notre coeur, non pas comme un pansement qui évite soigneusement de ressentir ce qui est là, mais comme une opportunité d’embrasser pleinement qui nous sommes. Et je pense que ce monde a tant besoin de redevenir sensible à l’amour, à la joie et à la beauté, et cela passe par reconnaître notre vulnérabilité.

Si la rose et l’aubépine ont des épines, c’est vraiment pour nous apprendre à aimer. Parce que plus on aime, plus on se rapproche de notre cœur.

Mais plus on se rapproche de notre coeur, et plus on se rapproche également de notre intimité, de notre vulnérabilité et de nos blessures.

Il y a une idée véhiculée qui dit que lorsque l’on aime véritablement, on ne souffre pas. Que si notre amour fait souffrir, alors ce n’est pas de l’amour, et on ne résume cela qu’à de l’attachement.

Et pourtant, plus j’aime, et plus je sens mon coeur battre et vibrer. Plus j’aime et plus je me sens reliée à une force de vie qui me dépasse.

Mais inévitablement, plus je suis proche de mon coeur, et plus je suis proche de ce qui est sensible et fragile dans ce coeur qui accueille tout.

Ce qui nous rend libre, ce n’est pas aimer sans attente ou sans attachement. Ce qui nous rend libre est plutôt notre capacité à nous abandonner pleinement et à embrasser pleinement nos blessures lorsque notre coeur s’ouvre à la peur de perdre les êtres que l’on aime et à toutes les émotions qui découlent de cet état d’être profondément humain.

Ainsi lorsque je me rapproche de la rose ou de l’aubépine, je peux les sentir percer quelques fragments de cette armure que j’ai construire autour de mon coeur, pour y laisser passer quelques fragments de lumière, et me montrer comment aimer véritablement. Elles me montrent comment accepter de se laisser toucher, comment accueillir la douleur afin de l’embrasser pleinement, et s’ouvrir à un amour plus sincère et plus authentique.

Pourquoi la rose et l’aubépine nous aide à traverser les deuils et les chagrins ?

Elles ne viennent pas mettre un voile sur nos peines… Elles nous permettent au contraire de les accueillir, des les aimer, car ces peines sont le reflet de l’amour que nous portons en nous.

Jess, herboriste et poétesse

PRODUCTION LOCALE ET ARTISANALE

Tous les produits du Jardin Alchimique sont réalisées à partir de plantes soient récoltées à l’état sauvage, soit cultivées et cueillies au jardin.

Les macérats huileux sont réalisées dans des huiles végétales, biologiques, de première pression à froid.

Les hydrolats sont distillées avec nos plantes, sur notre lieu de vie.

La cire d’abeille, toujours biologique, provient d’amis apiculteurs en France.

Les huiles essentielles sont autant que possibles issues d’artisans distillateurs, et toujours biologiques. Je mets un point d’honneur à une utilisation partielle et raisonnée des huiles essentielles.

Nous avons par ailleurs tendance à utiliser les huiles essentielles de façon démesurée, oubliant que celles-ci nécessitent une quantité considérable de plantes, d’eau et d’énergie, avec un impact considérable sur la biodiversité. Les molécules des huiles essentielles sont également des constituants chimiques plus difficilement assimilables pour notre organisme. Un usage démesuré d’huiles essentielles ne me semblent pas du tout justifié tant pour des raisons écologiques que pour des raisons de santé.

ETHIQUE DE CUEILLETTE

Je réalise mes produits de soin autant que possible à partir de plantes médicinales que je cultive au jardin. Pendant longtemps j’ai privilégié les plantes sauvages, celles-ci étant réputées être plus puissantes, plus chargées en principes actifs, parce qu’elles poussent dans leur propre biotope.

Aujourd’hui ma position a évoluée, au vu du contexte climatique et de l’effondrement de la biodiversité auquel nous assistons dans l’indifférence générale. Mon éthique va plus loin que de « ne cueillir que ce dont j’ai besoin ». Je veille avant tout à cueillir en sauvage uniquement si la variété de plantes et réellement abondante et qu’elle n’est pas en statut vulnérable, menacée ou protégée, ce qui demande souvent des recherches plus approfondies que ce que l’on a devant nos yeux. Dès lors, je cueille peu de plantes en sauvages, et me concentrent sur les plantes qui poussent sur mon lieu de vie.

Par ailleurs, il a été démontrée pour certaines plantes qu’elles ne sont pas forcément moins puissantes et moins chargées en principes actifs si celles-ci sont cultivées. Tout dépend de la manière dont on les cultive, si elles poussent sur un sol qui leur est adapté, de la météo, etc.

Mes produits sont toujours réalisés en quantité très limitée car je souhaite maintenir une éthique rigoureuse concernant mes cueillettes afin de ne préserver que le strict minimum et préserver la biodiversité à mon échelle. Je suis par ailleurs membre de l’association française des cueilleurs, et je m’aligne sur leur charte.