Infos pratiques
Tendresse de rose
Ces tendresses végétales sont issues de ma gamme reflétant mon approche sensible et poétique de l’herboristerie, où je souhaite inviter chacun et chacune à redevenir sensible et à pouvoir accueillir sa propre vulnérabilité, ce joyau au creux de notre être qui nous permet de nous relier à chaque chose et chaque être avec empathie, amour et compassion, et accueillir ainsi la tendresse amoureuse que l’on s’offre lorsque l’on choisi de tourner son regard vers l’intérieur et d’amorcer un processus de guérison au bénéfice de tous les êtres.
Les épines de la Tendresse
La rose est un symbole d’alchimie intérieure, dont les épines nous invitent à nous laisser toucher, nous laisse transpercer afin d’accueillir notre vulnérabilité, apprendre à redevenir sensible et goûter à ce qui nous rend profondément humain et aimant.
C’est ainsi que je perçois la capacité de la rose à nous relier à notre coeur, non pas comme un pansement qui évite soigneusement de ressentir ce qui est là, mais comme une opportunité d’embrasser pleinement qui nous sommes. Et je pense que ce monde a tant besoin de redevenir sensible à l’amour, à la joie et à la beauté, et cela passe par reconnaître notre vulnérabilité.
Si la rose et l’aubépine ont des épines, c’est vraiment pour nous apprendre à aimer. Parce que plus on aime, plus on se rapproche de notre cœur.
Mais plus on se rapproche de notre coeur, et plus on se rapproche également de notre intimité, de notre vulnérabilité et de nos blessures.
Il y a une idée véhiculée qui dit que lorsque l’on aime véritablement, on ne souffre pas. Que si notre amour fait souffrir, alors ce n’est pas de l’amour, et on ne résume cela qu’à de l’attachement.
Je réalise mes produits de soin autant que possible à partir de plantes médicinales que je cultive au jardin. Pendant longtemps j’ai privilégié les plantes sauvages, celles-ci étant réputées être plus puissantes, plus chargées en principes actifs, parce qu’elles poussent dans leur propre biotope.
Aujourd’hui ma position a évoluée, au vu du contexte climatique et de l’effondrement de la biodiversité auquel nous assistons dans l’indifférence générale. Mon éthique va plus loin que de « ne cueillir que ce dont j’ai besoin ». Je veille avant tout à cueillir en sauvage uniquement si la variété de plantes et réellement abondante et qu’elle n’est pas en statut vulnérable, menacée ou protégée, ce qui demande souvent des recherches plus approfondies que ce que l’on a devant nos yeux. Dès lors, je cueille peu de plantes en sauvages, et me concentrent sur les plantes qui poussent sur mon lieu de vie.
Par ailleurs, il a été démontrée pour certaines plantes qu’elles ne sont pas forcément moins puissantes et moins chargées en principes actifs si celles-ci sont cultivées. Tout dépend de la manière dont on les cultive, si elles poussent sur un sol qui leur est adapté, de la météo, etc.
Mes produits sont toujours réalisés en quantité très limitée car je souhaite maintenir une éthique rigoureuse concernant mes cueillettes afin de ne préserver que le strict minimum et préserver la biodiversité à mon échelle. Je suis par ailleurs membre de l’association française des cueilleurs, et je m’aligne sur leur charte.
PRODUCTION LOCALE ET ARTISANALE
Tous les produits du Jardin Alchimique sont réalisées à partir de plantes soient récoltées à l’état sauvage, soit cultivées et cueillies au jardin.
Les macérats huileux sont réalisées dans des huiles végétales, biologiques, de première pression à froid.
Les hydrolats sont distillées avec nos plantes, sur notre lieu de vie.
La cire d’abeille, toujours biologique, provient d’amis apiculteurs en France.
Les huiles essentielles sont autant que possibles issues d’artisans distillateurs, et toujours biologiques. Je mets un point d’honneur à une utilisation partielle et raisonnée des huiles essentielles.
Nous avons par ailleurs tendance à utiliser les huiles essentielles de façon démesurée, oubliant que celles-ci nécessitent une quantité considérable de plantes, d’eau et d’énergie, avec un impact considérable sur la biodiversité. Les molécules des huiles essentielles sont également des constituants chimiques plus difficilement assimilables pour notre organisme. Un usage démesuré d’huiles essentielles ne me semblent pas du tout justifié tant pour des raisons écologiques que pour des raisons de santé.
ETHIQUE DE CUEILLETTE
Je réalise mes produits de soin autant que possible à partir de plantes médicinales que je cultive au jardin. Pendant longtemps j’ai privilégié les plantes sauvages, celles-ci étant réputées être plus puissantes, plus chargées en principes actifs, parce qu’elles poussent dans leur propre biotope.
Aujourd’hui ma position a évoluée, au vu du contexte climatique et de l’effondrement de la biodiversité auquel nous assistons dans l’indifférence générale. Mon éthique va plus loin que de « ne cueillir que ce dont j’ai besoin ». Je veille avant tout à cueillir en sauvage uniquement si la variété de plantes et réellement abondante et qu’elle n’est pas en statut vulnérable, menacée ou protégée, ce qui demande souvent des recherches plus approfondies que ce que l’on a devant nos yeux. Dès lors, je cueille peu de plantes en sauvages, et me concentrent sur les plantes qui poussent sur mon lieu de vie.
Par ailleurs, il a été démontrée pour certaines plantes qu’elles ne sont pas forcément moins puissantes et moins chargées en principes actifs si celles-ci sont cultivées. Tout dépend de la manière dont on les cultive, si elles poussent sur un sol qui leur est adapté, de la météo, etc.
Mes produits sont toujours réalisés en quantité très limitée car je souhaite maintenir une éthique rigoureuse concernant mes cueillettes afin de ne préserver que le strict minimum et préserver la biodiversité à mon échelle. Je suis par ailleurs membre de l’association française des cueilleurs, et je m’aligne sur leur charte.